Le temps est arrivé. Vous avez trouvé le terrain qui vous plait dans la limite de votre budget. Vous imaginez dès maintenant que votre future maison s’y trouve. Pour ne pas gâcher votre joie, la société AXCE’S HABITAT vous conseille de vérifier les six points suivants avant de vous engager en vue d’assurer votre sécurité dans l’acquisition de votre terrain.

Vérifier l’environnement du terrain

Afin d’éviter les mauvaises surprises, il est préférable de se renseigner sur l’environnement du terrain. Pour ce faire, procurez-vous des informations complémentaires auprès du voisinage et localisez les parcelles voisines à l’aide d’outils tels que Google Earth.

Vous pouvez ainsi déterminer s’il y a ou non des voies ferrées à proximité, un camping, ou tout autre élément qui pourrait entraver votre projet de construction.

Contrôler la pollution éventuelle du site

Il est évident que vous souhaiteriez ne pas acquérir une terre polluée. Sachez en effet que le coût de la dépollution d’un terrain est élevé et que vous ne pouvez pas vous retourner à l’encontre du vendeur ! Il vaut donc mieux le vérifier au préalable. Pour cela il vous suffit de consulter le site du gouvernement qui répertorie les sites polluants.

Vérifier la constructibilité

Afin de vous assurer que votre terrain est constructible, vous devez vous rendre à la mairie et demander un certificat d’urbanisme pour vous informer sur les dispositions d’urbanisme relatives à votre terrain, les limites administratives en matière de droits de propriété, ainsi que sur les taxes d’urbanisme.

Connaître la nature du sol

Connaître la nature du sol est un élément indispensable car il conditionne largement la méthode de construction envisagée. Afin de vous informer davantage sur ce sujet, il est possible de réaliser une étude de sol et de faire intervenir un géologue. Celui-ci vous indiquera par exemple si votre terrain est pollué ou argileux…

Connaître la zone de sismicité

Il est essentiel de connaître la zone sismique dans laquelle se trouve le terrain. En France, il existe 5 classes de zones, allant de 1 à 5, 5 étant la zone présentant le plus grand risque de séisme. En fonction de la zone, votre construction doit comporter des renforcements de structure ou de fondation qui peuvent engendrer un coût supplémentaire significatif.

Vérifier l’existence d’une zone protégée 

Dans le cas où votre terrain se trouve en zone ABF (Architecte des Bâtiments de France), soit en zone protégée, sachez que des obligations vous seront imposées concernant la construction de votre future maison, et les éventuels surcoûts qui y sont liés (tuiles en ardoise naturelle, menuiseries en bois…).